Sauvé par Alinghi !
Voilà bien une heure que je tripote mon clavier, que je tourne en rond dans mon bureau et dans ma tête pour essayer de trouver LE sujet de ce médito. J´ai plein de mélodies qui me passent par la tête, mais je vois mal comment vous chanter un petit air dans ces colonnes. Et si je m´inspirais de l´actualité ?
Les licenciements, la crise, ... des sujets graves certes, mais comment les confronter au chant et à la musique qui sont si gais, joyeux et légers ? Je ne vais tout de même pas vous jouer un requiem non plus. La guerre ? J´en ai déjà parlé dans mon précédent papier. Et c´est bien là encore mon problème, j´ai aujourd´hui l´impression que toutes les idées qui me viennent, je vous les ai déjà livrées un jour ou l´autre. En plus, à force de chercher à gauche ou à droite, je me dis que si je trouve une bonne idée ailleurs et que je m´en sers, ça risque de faire un peu "réchauffé". Non, là vraiment, c´est le calme plat, il faut encore que j´attende pour trouver un sujet porteur, un scoop, le souffle inspirateur qui me fera gagner auprès de vous, chers lecteurs, un peu d´attention, un sourire peut-être ou encore l´ébauche d´une réflexion. Et rien que ça, ce serait déjà une belle victoire...
Victoire ?... Voilà, ... je le tiens mon sujet porteur : Alinghi ! Peut-être un peu "déjà vu", d´accord, mais comme on en a parlé partout, pourquoi pas ici ? D´autant plus que lors d´une émission sur la vie du team Alinghi, j´ai vu le gars qui les préparait mentalement, leur "gourou" quoi, faire une démonstration étonnante : il leur a d´abord montré des petites baguettes que l´on pouvait casser comme des allumettes, vraiment quelque chose de très fragile. Puis il a donné au plus costaud de l´équipe un paquet d´une cinquantaine de ces mêmes baguettes, tenues ensemble par des élastiques. Il lui a demandé de les casser. Impossible ! Il venait de démontrer que chacun dans le groupe était important pour la solidité du tout. Cela ne donne-t-il pas à réfléchir ?
Au fait, merci Alinghi !
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